Des scientifiques de l’université de Stanford et de l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill, dont le cofondateur de Carbon, Joe De Simone, est l’auteur principal de l’étude, ont créé un patch de vaccin imprimé en 3D qui offre une meilleure protection qu’une injection de vaccin classique. Alors que les patchs à micro-aiguilles sont étudiés depuis des décennies, les travaux de Carolina et de Stanford permettent de surmonter certaines difficultés du passé : grâce à l’impression 3D, les patchs imprimés en 3D peuvent être facilement personnalisés pour développer différents patchs pour la vaccination contre la grippe, la rougeole, l’hépatite ou le COVID-19.

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